Lettre ouverte au président de la Bundesbank | Telos | Chronique des Droits de l'Homme | Scoop.it

Cher Jens*, de plus en plus nombreux sont les économistes qui arrivent à la conclusion que la crise des dettes souveraines ne s’arrêtera que lorsque la BCE sera intervenue comme prêteur en dernier ressort. Vous avez affirmé la position inverse. Ma question est : pourquoi ?