En acceptant de participer, en octobre dernier, au sommet de l’Organisation internationale de la francophonie de Kinshasa, sur les terres de Joseph Kabila, l’un des pires dictateurs du continent, imposé par les armes, la répression des opposants et la violation des urnes, François Hollande nous avait gratifié d’un discours de circonstance sur l’état « inacceptable » des Droits de l’homme en RDC...