C'est une erreur courante : vous répondez un peu trop vite, un peu trop tard, un peu trop éméché à un courriel, en réponse groupée plutôt qu'à un seul destinataire, et voilà votre correspondance projetée sous les yeux de quelque dizaines d'indésirables ou d'un seul, mais sévère : parent, patron, ennemi. Un employé du New York Times a donné mercredi une nouvelle dimension à ce gag, en écrivant par inadvertance à plus de 8 millions de lecteurs du quotidien de référence américain – il en visait 300 seulement...
>>>> Mail reçu par moi, le 28/12 à 19h22 : "As a valued Times reader we invite you to continue your current subscription at an exclusive rate of 50% off for 16 weeks. This is a limited-time offer and will no longer be valid once your current subscription ends.*"
>>>> Mail du 28/12 à 22h55 : "You may have received an e-mail today from The New York Times with the subject line “Important information regarding your subscription." This e-mail was sent by us in error. Please disregard the message. We apologize for any confusion this may have caused."
>>>> L'informatique permet aussi de faire des erreurs définitives