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Cet ouvrage collectif pluridisciplinaire s’attache au nécessaire exercice d’une généalogie du concept de liberté – ou plus exactement des concepts de libertés – et d’une histoire de ses usages politiques à travers les doctrines se réclamant du libéralisme ou pouvant être décrites comme libérales. L’objectif central proposé par Jean-Louis Fournel, Jacques Guilhaumou et Jean-Pierre Potier dans l’introduction de cet imposant volume est celui d’une déconstruction des liens philosophico-politiques entre la pensée de « la liberté », problématique fondatrice de la philosophie, et l’analyse des « libéralismes », qui correspondent davantage à des corps de doctrines politiques ou économiques. Dans cette archéologie des idées politiques, il faut donc distinguer pour mieux les analyser ensemble, les discours savants d’un côté et les évènements de l’autre, c’est-à-dire l’adaptation d’un discours savant à la vie politique à travers une approche historique, afin de « mettre à jour les impensés du libéralisme » (p. 8). L’ouvrage s’articule en trois grandes parties : « Libertés », « Démarcations », « Expériences », reflétant la volonté des auteurs de distinguer entre concept philosophique et expériences historiques d’un modèle politique, et surtout de ne pas réduire l’ensemble des possibles ouverts par la pensée de la liberté aux choix historique des modèles libéraux...
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Une zone de gratuité : Rien n’est à acheter. Ce n’est pas du troc ni de la charité. Seulement un endroit où vous pouvez prendre ce que vous avez besoin même si vous n’avez rien déposé.
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En étudiant la littérature des plans de paix, du Moyen Âge à nos jours, B. Arcidiacono classe, dans une typologie particulièrement pertinente, les différentes conceptions de la paix qui ont guidé les hommes dans leur volonté de mettre fin aux conflits entre les nations. Un ouvrage de référence, qui se restreint toutefois aux traditions de pensée occidentales...
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En 1992, l’américain Francis Fukuyama publie son livre resté tristement célèbre sur La Fin de l’Histoire et le dernier homme ; l’idée étant de prouver que la fin du bloc de l’Est et de la guerre froide allait amener la démocratie partout et célébrer, par une mésinterprétation hégélienne, la fin de l’histoire...
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La manière dont nous concevons ce qui est ou non objectif a plusieurs fois changé depuis le XVIIe siècle. Pour explorer ces variations, Lorraine Daston et Peter Galison étudient les « atlas » que formeraient les usages scientifiques de l’image. Ces illustrations de plantes, de planètes, de méduses ou de flocons de neige en disent long, en effet, sur les régimes de l’objectivité – avec à l’horizon du XXIe siècle, la possible disparition des représentations dans les pratiques scientifiques...
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Huit de nos voisins helvètes ont lancé une initiative en avril 2012 pour déclencher un référendum (avant fin 2013) qui s’il s’avère positif, donnera droit à un revenu de base inconditionnel. Le principe est simple : tout adulte touche l’équivalent de 1650 à 2000 euros (2000 à 2500 francs suisse). Définitivement. Quoi que vous fassiez, qui que vous soyez, vous touchez ce revenu. Mais plus personne ne touche aucune prestation sociale autre (allocation logement, chômage, aides d’Etat diverses etc…)... >>>> Vidéo sur le "Revenu de base"
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(…mais comment et par qui il est appliqué. Le capitalisme a des origines anciennes, il est même le système d’organisation économique qui a le plus souvent prédominé dans les sociétés occidentales. Pour autant, c’est son application politique, ses objectifs qui posent problème, pas son fonctionnement intrinsèque détourné au profit d’une minorité depuis longtemps.)...
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Du temps où ma si veille voisine allait encore vaguement «jardiner» dans son petit potager (où j'ai accès en colocataire), je la voyais, à l'occasion l'accompagnais, «faire la chasse aux escargots qui bouffent tout ». Elle semait du sel «pour les faire dégueuler à en crever», ce qui n'est pas très gentil pour les belles bêtes, ni recommandé pour la bonne terre. Et nous les ramassions par temps sec, en retournant pierres et bois divers, pas pour les bouffer mais les jeter, après écrasement. C'est comme ça que j'ai constaté qu'un certain nombre de coquilles étaient vides, privées de vie, tout en restant parfaitement identiques aux autres, pleines de vie. Comme les limaces - encore plus voraces ! - sans coquille protectrice...
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Une des formules les plus répandues depuis quelques temps dans les médias audiovisuels - "C'est compliqué"- signifie en réalité: "Sujet trop difficile; on renonce à vous le raconter." Il y a du mépris pour les auditeurs ou téléspectateurs dans cette esquive: "Vous ne pourrez pas comprendre." Dans de nombreux organes de radio et de télévision, la "masse" que synthétise l'auditeur ou le téléspectateur "moyen" est forcément bête. En réalité, l'expression "C'est compliqué" signifie que la rédaction est globalement trop inculte et ses journalistes trop fainéants pour être en mesure de comprendre et d'expliquer le phénomène ainsi éludé... >>>> Démonstration en vidéo : http://www.lemonde.fr/culture/video/2012/03/09/la-parabole-des-tuileries-ou-pourquoi-l-economie-de-la-culture-a-ses-propres-regles_1655765_3246.html Fab !!!
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On se souvient de la remarquable intervention de la chercheuse Stefana Broadbent à Lift France 2010et de son tout aussi remarquable livre, L’intimité au travail (voir notre interview). Après nous avoir parlé de nos espaces de travail, la chercheuse, responsable du laboratoire d’anthropologie numérique de l’University College de Londres revenait sur la scène de cette 7e édition de Lift pour évoquer ce que les technologies changent dans le coeur même de nos foyers : la maison...
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Il y a quelques jours, sur Twitter, quelqu’un (Benoît Tabaka ?) évoquait le passage futur, la prochaine étape : de l’Open Data (les données publiques librement accessibles) au Big Data. Très bien. Mais qu’est ce que le "Big Data" ? Selon l’article de Wikipedia (qui n’est en général jamais aussi bon que sur ce genre de sujet pour "geek") :...
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n.m (1597). Un nouveau mot pour 2013 : c'est le Ministre de l'intérieur Manuel Valls qui le lance
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De plus en plus de patients se retrouvent guéris avant d'être cliniquement malades. Un paradoxe qui justifie une évolution de la terminologie, estime Luc Périno, médecin et essayiste.
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Résoudre la question alimentaire à l’échelle planétaire, en se passant de l’agriculture conventionnelle ? Ça ressemble à une utopie, mais c’est la réalité de demain, selon certains. Parmi eux, l’agronome Jacques Caplat. Entretien...
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Apple a forcé un enseignant à retirer le mot "Libre" d'un ouvrage gratuit qu'il avait publié pour l'iPad...
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Le concept d’islamophobie a relativement mauvaise presse en France, pas seulement parce qu’il s’agit d’un nouveau venu dans le champ des sciences sociales, dont on peut faire...
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Selon certains intellectuels médiatiques parisiens, “islamophobie” est un terme à bannir absolument du vocabulaire français. Un des principaux arguments mobilisés pour justifier ce bannissement symbolique réside dans l’affirmation selon laquelle le terme a été forgé par les “intégristes iraniens” dans les années 1970 soit pour disqualifier les femmes refusant de porter le tchador, soit pour empêcher toute forme de critique de la religion musulmane: « Le mot “islamophobie” a une histoire, qu’il vaut mieux connaître avant de l’utiliser à la légère. Il a été utilisé en 1979, par les mollahs iraniens qui souhaitaient faire passer les femmes qui refusaient de porter le voile pour de “mauvaises musulmanes” en les accusant d’être “islamophobes”. (…) En réalité, loin de désigner un quelconque racisme, le mot islamophobie est clairement pensé pour disqualifier ceux qui résistent aux intégristes : à commencer par les féministes et les musulmans libéraux. »...
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Dans le monde manichéen d'Eurabia, le communisme a été remplacé par l'islam comme ennemi civilisationnel. Comme le communisme, il est un adversaire absolu d'autant plus redoutable qu'il est à la fois un ennemi extérieur (la menaceAl-Qaida notamment) et un ennemi de l'intérieur. C'est sans doute ce dernier point qui a les conséquences politiques les plus graves pour la cohésion des sociétés européennes...
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Stéphane Dufoix nous invite, avec son livre La dispersion. Une histoire des usages du mot diaspora à nous méfier des mots, selon l’expression de Céline, et en l’occurrence d’un mot à la mode : "diaspora". Que ce soit en géographie, en anthropologie, en histoire, en sciences politiques ou en sociologie, mais aussi dans les médias et dans les rapports des organisations internationales et des gouvernements, il ne vous aura pas échappé que ce mot de "diaspora" connaît, depuis les années 1990, un véritable engouement...
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"Qu’est-ce que l’honneur ? Un mot. Qu’y a-t-il dans ce mot honneur ? Un souffle." (Falstaff, dans Shakespeare, Henry IV [V, 1])...
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Économie de l’environnement, des ressources naturelles, du développement durable, green economics, sustainability science, bioéconomie, écodéveloppement : nombreux sont les disciplines et les concepts qui croisent considérations environnementales et économiques. On revient ici sur l’économie écologique, qui a réussi à investir le champ académique et à démultiplier les débats... >>>> Doc à télécharger
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Le Monde.fr - La question peut paraître absurde. Mais la droite nordique, et notamment la droite suédoise, sème le doute en tentant de gommer la patine sociale-démocrate de ce concept très vendeur.
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Civilisation, un très beau mot, une idée pleine de lumières. Nos villes et villages sont remplis d'êtres humains sans travail, sans papiers, sans domicile fixe. Pour le passant sur son chemin, rien que de banal, tristement. On lui a appris que le chômage est une composante de la société industrielle, qu'être en manque des papiers qui confèrent une identité, cela peut arriver à chacun ; davantage, il est vrai, à ces gens baptisés "immigrés" dont on répète qu'ils sont indispensables au marché du travail. On lui répète depuis l'école et dans les discours publics qu'il doit être fier d'en faire partie, d'avoir reçu une "identité nationale" enviée... >>>> "Vas-y Marcel !!" - de la part de Jean-Pierre (Vernant)
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