Après "La France Orange mécanique", Laurent Obertone continue sa croisade néoréac en s’identifiant au terroriste norvégien Anders Breivik. Démontage.
Il y a un an, Laurent Obertone sortait La France Orange mécanique. Un brûlot en carton dans lequel il expliquait, à l’aide de chiffres hasardeux et de faits divers instrumentalisés, que notre pays avait basculé dans “l’ensauvagement” et “l’ultraviolence”. Les responsables : les immigrés africains, bien sûr. Non content d’être devenu l’écrivain fétiche de l’extrême droite, Laurent Obertone aggrave son cas. Dans la lignée de l’éloge littéraire (abject) d’Anders Breivik signé Richard Millet, le jeune “journaliste” est parti en Norvège pour raconter à la première personne la tuerie d’Utøya. A mi-chemin entre le roman à clé à molette, l’enquête fouillée et la pignolade identitaire, Obertone renoue avec une critique à 2,30 euros du multiculturalisme...
Au lieu de nous bassiner avec de écrivailleries contournées, ils feraient mieux de dire tout de suite que c'est beau et bien de tuer tous les sous-hommes (brevet SGDG) et de mettre en place un régime sado-fécal.
C'est fou le temps que les "gross malins" passent à mettre du caca en alexandrins.
Viva la muerte, hein ?