(mouvement d'humeur ...)
Si l’on en croit le journal Le Monde du 3 octobre 2013, dans un article intitulé : َL’université française passe de l’amphi aux cours en ligneَ, « les cinq prochaines années verront exploser le marché mondial de l’e-éducation ».
Donc, puisque l’éducation n’est pas une marchandise, l’e-éducation doit l’être !
Évidemment, comme le rappelle Nathalie Brafman, auteur de l’article en cause, « l’enjeu est énorme : il s’agit non seulement de révolutionner la transmission des savoirs, mais aussi d’éviter qu’elle ne soit aux mains de quelques entités ». Faut-il supposer qu’il s’agirait d’éviter que chacun, pourvu d’un site, d’un blog ou d’une page, le consacre librement à son enseignement ? L’objectif est bel et bien d’empêcher les initiatives personnelles ou collectives qui, loin de proposer diplômes ou certificats, titres ou grades, s’attachaient aux contenus pour en livrer des commentaires ou des explicitations...