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“Experimental investigation of electrical domestic heat pumps equipped with a twin-stage oil-free radial compressor” est la première thèse publiée sous licence Creative Commons (CC) à l’EPFL. Après plusieurs années de recherche, Jean-Baptiste Carré rend en 2015 l’ensemble de son travail de doctorat accessible sous licence CC BY et prouve les nombreux avantages de ces licences pour la recherche et le chercheur.
Si pour vos projets, vous cherchez des photos dans le domaine public, il existe un site qui s'appelle Finda.photo, qui rassemble plus de 10 000 photos sous licence CC0. Vous pouvez y faire des recherches par mot clé, par thématique, par source et même par couleur dominante.
Le rapport StraNES, remis la semaine dernière à François Hollande, encourage l'usage de l'Open source et des Creative Commons pour les contenus pédagogiques produits dans l'enseignement supérieur.
La fondation Creative Commons, qui a récemment publié un rapport sur ses licences, prévoit que le nombre de fichiers les utilisant dépassera le milliard l'année prochaine.
L’idée est bien de trouver un modèle de financement d’un Open Access qui ne soit pas qu’un accès libre mais qui s’appuie sur des droits de réutilisation des contenus tels que le proposent les licences Creative Commons. Les bibliothèques achètent le corpus pour en financer une libération viable économiquement. KU se rémunère sur une « taxe de libération » payée par les bibliothèques. Apparemment le programme pilote a duré moins de 3 ans puisque un retour d’expérience a été publié très récemment. En voici une petite synthèse puisque le document est librement accessible (en anglais).
Via Bernard BRUNET
Le renforcement des contrôles et des moyens de surveillance, autour du respect des copyrights, doit, à mon sens, entraîner la multiplication de contenus techniques et culturels sous des licences dites libres, globales ou ouvertes.
Il y a un peu moins d’un an était rédigé collaborativement, lors d’un booksprint le livre Oil Contracts - How to read and understand them à l’initiative d’Open Oil. En forçant un peu le trait on pourrait dire qu’il a pour objectif d’aider les autochtones à ne pas se faire arnaquer par les compagnies pétrolières (et leurs gouvernements), ce qui a pu se produire par le passé. Ce livre est accessible à tous sous licence libre CC By-SA et est en cours de traduction en plusieurs langues dont le français.
Linux Voice est un nouveau projet de magazine anglophone autour de GNU/Linux et du logiciel libre. Il ne verra le jour que si son financement par crowfunding sur Indiegogo est couronné de succès (il est d’ores et déjà en passe de l’être). Lors du lancement de la campagne, il avait été annoncé que le contenu du magazine serait rendu « free » au bout d’un certain temps. Le problème c’est que ce terme est très flou a priori. Ils ont levé tous les doutes en adoptant la libre licence CC By-SA et s’en expliquent dans l’article traduit ci-dessous. Un exemple à suivre pour notre presse spécialisée francophone ? (si, oui, nous sommes preneurs pour faire connaître et diffuser les articles en tout cas :))
Les licences Creative Commons utilisées par les auteurs et les artistes évoluent en version 4.0 et apporte plus de flexibilité pour le partage des oeuvres. Petits changements pour les licences Creative Commons (CC) qui contractualisent l'usage des oeuvres des artistes, des scientifiques, des enseignants ou des créateurs. Elles permettent aux ayant-droit d'accorder facilement l'autorisation pour l'utilisation de leurs oeuvres dans un cadre défini. Elles sont inspirées du logiciel libre et de l'Open Source. La version 4.0 de la licence vient de paraître après un travail de 2 ans d'experts juridiques pour l'améliorer et l'affiner.
Le domaine public ne concerne pas seulement les oeuvres anciennes qui finissent 70 ans après la mort de leurs auteurs par ne plus être protégées par les droits patrimoniaux. Il peut aussi exister un domaine public volontaire, résultant du souhait des créateurs de faire entrer par anticipation leurs oeuvres dans le domaine public, pour les mettre le plus largement possible à disposition.
Et si vous pouviez désormais choisir votre essence de bois et faire travailler les artisans locaux, pour obtenir vos meubles en kit favoris à un prix abordable ? Le site OpenDesk propose le partage de designs de meubles, avec des fichiers open-source destinés aux outils de découpe numériques.
Un livre sur la théorie des types homotopique vient d’être publié par des mathématiciens. A priori ça ne concerne que les spécialistes du sujet… Et pourtant ça concerne tout le monde, tant sa conception originale et les leçons qui en sont tirées ci-dessous ont valeur d’exemplarité. Du Libre à tous les étages (LaTeX, GitHub, Creative Commons By-Sa…) mais surtout dans son état d’esprit de partage et de collaboration. Un projet et un article passionnants, à faire lire dans la sphère académique et bien au delà.
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Les Creative Commons sont des licences de protection des œuvres en ligne, une protection qui est bénéfique tant à l’auteur qu’à l’utilisateur. Les CC ont été imaginés dans le pur esprit utilitariste du web.
Via Aurélien BADET
A Brest, plus d’une cinquantaine d’animations seront là pour informer, discuter de ce mouvement des communs numériques et populaires qui ne cesse de grandir. Cette année, la diversité d’animations (balades à vélo des jardins partagés, ciné-débat autour des graines, atelier bibliobox...) montre que les communs nous concernent toutes et tous.
Un temps fort le 3 octobre au parc à chaînes favorisera la rencontre des acteurs et du public autour d’ateliers, de présentations de projets, de tables rondes. Ce sera également l’occasion de fêter les 20 ans de l’association InFini lors d’un temps convivial de clôture de cette journée (banquet libre et concert).
Vous êtes tous invités à participer activement à ces rencontres à Brest…
Disponibles depuis une semaine, la licence Creative Commons Zéro et la marque domaine public sont très demandées. On compte déjà plus de 130 000 clichés utilisant ces deux nouvelles options.
Grâce à cette licence, les utilisateurs pourront fabriquer ECOBANG™ selon nos plans. Ils pourront aussi améliorer le dispositif à leur guise.
Via Bernard BRUNET
L'Afrique de l'Ouest est secouée depuis plusieurs mois par une grave épidémie causée par le virus Ebola. Une épidémie qui frappe principalement 4 pays (Guinée, Liberia, Sierra-Leone, Nigeria) et qui a causé à ce jour, plus d'un millier de victimes avec son cortège de désolation. Tous les autres pays ont mis en place un gros dispositif préventif allant jusqu'à la fermeture des frontières, en plus d'une vaste politique de sensibilisation publique de proximité. En Côte d'Ivoire, le gouvernement appelle à la vigilance et invite toute la population à respecter les recommandations du ministère de la santé publique, avant de préciser qu'aucun cas de la fièvre Ebola n'a été détecté en Côte d'Ivoire.
La Commission européenne a lancé une nouvelle consultation sur le droit d'auteur en décembre dernier : Internet reste, en 2014, un enjeu central pour la diffusion des œuvres culturelles. La suprématie commerciale des “firmes culturelles“ n'est pourtant pas totalement acquise en termes de propriété intellectuelle. Pour preuve, les différents modèles de droits de propriété intellectuelle “libres“ qui prospèrent sur la toile. Quel futur modèle pour la culture européenne sur Internet ?
Depuis cette semaine, Google Images facilite la recherche d'images sous licence Creative Commons. Le moteur de recherche a en effet déplacé une option permettant de rechercher des illustrations encadrées par des droits d'usage plus souples afin qu'elle soit plus accessible aux internautes.
Si les abeilles disparaissaient de la surface du globe, l’homme n’aurait plus que quatre années à vivre, estiment certains apiculteurs. Or on assiste depuis une décennie à un phénomène inquiétant en Europe : le syndrome d’effondrement des colonies d’abeilles. Et si le Libre permettait d’améliorer la situation en rendant plus accessible la création de ruches ? Tel est, en gros résumé, l’objectif principal du projet Open Source Beehives qui propose, entre autres choses, des plans de ruches à monter soi-même sous licence libre (CC By-SA).
Cette semaine, après un processus d’élaboration de plus de deux ans, Creative Commons International a annoncé la publication de la nouvelle version 4.0 de ses licences. Framablog a déjà traduit en français un article d’une des responsables de l’organisation, Diane Peter, qui explique les principales modifications par rapport à la version 3.0 remontant à 2007. Creative Commons a travaillé par exemple pour simplifier le texte des licences afin de les rendre plus compréhensibles ; les licences auront également un effet plus global, car elles n’auront plus désormais à être transposées pays par pays et des clarifications intéressantes ont été apportées, notamment en ce qui concerne l’attribution des auteurs et l’adaptation des oeuvres.
Via Lockall, Bernard BRUNET, Aurélien BADET
Michael Tiemann est vice-président de Red Hat mais il est aussi impliqué dans un ambitieux projet autour de la musique, The Miraverse qui propose notamment un studio d’enregistrement (fonctionnant, en toute logique, à l’aide de logiciels libres). Il nous livre ici le fruit de ses réflexion en s’appuyant sur des citations de Glenn Gould et un projet dont nous vous reparlerons à la rentrée car Framasoft en sera le partenaire francophone : The Open Goldberg Variations. La première édition du projet avait donné lieu à l’enregistrement directement dans le domaine public des Variations Goldberg de Bach. Il s’agira cette fois-ci d’enregistrer ensemble Le Clavier bien tempéré.
L’un des intérêts majeurs du domaine public est qu’il favorise la production de nouvelles adptations des oeuvres, et notamment leur traduction. Mais l’entrée dans le domaine public d’oeuvres littéraires écrites en langue étrangère peut n’avoir en pratique que peu d’incidences pour le public français. En effet, les traductions de ces oeuvres sont considérées comme des oeuvres dérivées et protégées à ce titre pendant 70 ans après la vie des traducteurs. Il en résulte qu’il n’existe souvent pas de traductions réutilisables pour de nombreuses oeuvres importantes, quand bien même les originaux en langue étrangère sont dans le domaine public, et cela nuit incontestablement à leur accessibilité.
Intel est un nom que beaucoup n’associeraient pas à un produit dans le domaine de l’électronique embarquée. Pour la plupart des amateurs de ce secteur, des noms comme Arduino sont ceux qui viennent naturellement à l’esprit. Intel change désormais la donne avec l’introduction sur le marché de son premier PC open source le « MinnowBoard ».
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