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Fort marri de l’accord entre Microsoft et l’Education Nationale, plusieurs associations du logiciel libre montent au créneau pour faire annuler ce partenariat.
Édunathon n’a pas digéré l’accord signé le 30 novembre 2015 entre Microsoft France et l’Éducation nationale, respectivement représentés par Alain Crozier et Najat Vallaud-Belkacem.
Stéphane Distingin, co-auteur d’un rapport sur « la grande école du numérique », expose ce plan qui vise d’abord à soutenir des formations existantes.
L’apprentissage de la programmation informatique sera-t-il bientôt obligatoire dès l’école primaire ? C’est effectivement ce qui se dessine au travers des projets de programme dévoilés hier par l’Éducation nationale. Des enseignements plus poussés en matière d’algorithmique auraient ensuite lieu au collège, à partir de la cinquième.
À l'initiative de l'April, plus de 100 personnels, enseignants, syndicats de l'Éducation nationale lancent un appel pour la généralisation des formats ouverts dans l'Éducation nationale. Cet appel reçoit également le soutien de SE-UNSA1, du SGEN-CFDT2, de la Fédération SUD Éducation3, des Clionautes4 et de LinuxÉdu5. Cet appel est ouvert à tous : personnels de l'Éducation nationale, parents d'élèves, organisations, citoyens. Nous vous invitons à nous rejoindre pour l'interopérabilité dans l'Éducation nationale en signant dès maintenant l'appel. N'hésitez pas à faire circuler l'information autour de vous pour recueillir un maximum de soutiens notamment d'ici le salon Educatec-Educatice des 26, 27 et 28 novembre 2014 !
Le CNNum (Conseil national du numérique) a publié un rapport « Jules Ferry 3.0 : bâtir une école créative et juste dans un monde numérique ».
Le collège Louise Michel de Lille (14 rue de Cannes) s’est doté à la rentrée 2013 d’une imprimante 3D. Une dizaine d’élèves de 4e participent au projet de construction de l’imprimante et à la production/réalisation d’objets. Projet technologique et pédagogique Pour conter leur aventure technologique, les collégiens ont créé un blog : FabLab Louise Michel où l’on peut suivre l’aventure de ce beau projet (principalement en images légendées), à terme, qui vise à installer un fab lab permanent au sein de cet établissement scolaire. A suivre!
Le PDF, c'est l'avenir ? L'Open Source, une alternative pour aider les étudiants à ne plus se ruiner en achats de manuels scolaires ? Alors que l'industrie du livre est régulièrement assimilée à un cartel dans ce secteur, les étudiants américains font face, à chaque rentrée, au même problème : trouver leurs ouvrages aux meilleurs prix. Mais l'offre de téléchargement gratuite se structure de plus en plus, et TorrentFreak fait état d'une mobilisation grandissante.
Le 25 juin 2013 le Sénat a voté comme prévu, par 176 voix pour et 171 contre, l'adoption conforme du projet de loi de refondation de l’école de la République enterrant la priorité au logiciel libre pour le futur service public du numérique éducatif, disposition pourtant introduite par le Sénat en première lecture. Le projet ne met pas non plus en œuvre un véritable enseignement de la science informatique, alors qu'il est devenu essentiel que l'informatique soit une composante à part entière de la culture générale scolaire de tous les élèves. Pour en savoir plus, lire notre communiqué de presse Refondation de l'école : à quand une vraie politique publique en faveur du logiciel libre et pour les citoyens de demain ?.
Ces derniers mois de nombreux signes ministériels encouragent l’utilisation et la réalisation de logiciels et de ressources éducatives libres. La circulaire Ayrault a montré la voie en septembre 2012. Le 10 juin dernier , Vincent Peillon a notamment annoncé la réalisation de ressources vidéos disponibles en « OpenData » (Attendons de voir quelle sera exactement cette licence). On peut évidemment regretter que la priorité aux logiciels libres et aux formats ouverts ait été retoquée dans le projet de loi d’orientation et de programmation pour la refondation de l’école de la République. Le contexte reste toutefois globalement positif.
On nous a fait parvenir cette lettre d’un responsable d’Hadopi qui ne perd pas de temps et souhaite s’inviter dans l’Éducation nationale en animant des ateliers de « sensibilisation » en direction des professeurs et des élèves. Pour ce faire (et c’est malin), on contacte les personnes en charge de la vie lycéenne dans les rectorats. Nous nous sommes dits que cela pouvait vous intéresser…
Pour les enseignants-chercheurs en informatique, ce n’est pas la priorité accordée aux logiciels libres par un projet de loi qui devrait faire débat, mais l’absence de moyens pour former leurs collègues des lycées et collèges. Faute – notamment – de reconnaître l’informatique comme une discipline à part entière. Sur ce point, « il est urgent de ne plus attendre », considère un rapport récent de l’Académie des sciences. Commentaires de Colin de la Higuera, président de la Société informatique de France.
Nous sommes en 2013 et nous n’avons toujours pas réussi à éradiquer ce triste symptôme qui frappe depuis des années l’Éducation nationale française, à savoir la marchandisation Microsoft de nos écoles et son malheureux corollaire : le déni volontaire du logiciel libre et de sa culture. Dernier exemple en date, cette initiative qui de prime abord semble tout aussi innocente que louable : le « Tour de France du Numérique pour l’Éducation ».
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Le Canard Enchaîné a publié, dans son numéro du 30 décembre 2015, page 4, un article intitulé « Le lobbying d'enfer de Microsoft pour se payer l'école ». L'article analyse le récent partenariat signé entre Microsoft et le ministère de l'Éducation nationale.
Pour Jean-François Julliard, auteur de l'article, l'objectif de Microsoft consiste à « formater » les élèves à l'utilisation de ses produits, avec, en prime pour Microsoft, « un accès aux données personnelles de millions d'élèves et de milliers de fonctionnaires ». Il poursuit en rappelant que la consultation sur le projet de loi pour une République numérique avait pourtant mis en évidence une véritable tendance de fond en faveur du logiciel libre, notamment dans l'éducation.
Certains lycées de France pourront commencer à proposer à la rentrée 2015 une option "informatique et création numérique", appelée à se généraliser dans les établissements.
La programmation informatique est sur le point de faire son entrée dans l'éducation nationale. Dans les programmes provisoires établis par le Conseil supérieur des programmes, le code est intégré dans les cours de mathématiques. Ces documents de travail pourraient servir de base pour les programmes officiels pour la rentrée 2016.
Wikimédia France a obtenu du ministère de l'éducation nationale un agrément de cinq ans. Celui-ci permettra en particulier à l'association d'avancer des recommandations sur l'utilisation de Wikipédia par les élèves, afin de leur présenter des bonnes pratiques.
Transcription : Bonjour. Je vais vous parler d'éducation au code. Il y a beaucoup de gens qui disent : « Il faut que tout le monde apprenne le code. C'est bien le code. C'est génial le code ». Ouais ! Mais il y a quand même certains critères et certains aspects à voir. Et on va voir comment le faire...
Si vous êtes scolairement localisé entre la 6e et la Terminale, accrochez-vous ! Ça vous semble peut être dur et interminable, mais rassurez-vous, ce sera pire après ! En tout cas, vous n'êtes plus seul face à vos cours, car il existe un excellent site nommé Kartable qui rassemble toutes les matières aussi bien pour le Collège que pour les filières L, S et ES du Lycée. Sur ce site, vous retrouverez l'ensemble du programme dans toutes les matières qui existent, des exercices et leurs corrigés, des méthodes de résolution détaillées, des fiches pratiques pour les langues, des fiches d'auteurs et de citations pour la philo, sans oublier tout ce qui est chronologie historique et biographie.
Suite des réponses des ministères aux questions sur leurs usages et leurs dépenses en logiciel libre. La Culture veut "profiter au mieux des avantages du logiciel libre, mais aussi entretenir le cercle vertueux de son écosystème". L'Education nationale totalise plus de 4.000 serveurs sous Linux dans les rectorats.
La loi sur la Refondation de l’École inclut un article, introduit au Sénat, instituant une priorité au logiciel libre et aux formats ouverts. Le lobbying se met en marche, c'est bien naturel. Mais qui parle au nom du logiciel libre ?
Open Source : Votée par le Sénat et adoptée en commission à l’Assemblée, la priorité au logiciel libre et aux formats ouverts est remplacée par une mention plus floue dans un amendement gouvernemental.
Ils reprochent à l'assemblée départementale de distribuer aux collégiens corréziens des tablettes Apple au lieu de se tourner vers des systèmes d'exploitations libres.
L'association Pullco (promotion de l'utilisation des logiciels libres en Corrèze) exprime dans un communiqué sa forte déception "face à l'entêtement du Conseil Général en renouvelant une solution qu'elle estime contraire à l'objectif recherché. Les défenseurs du logiciel libre estiment que cette décision est contraire aux préconisations faites par le gouvernement dans les administrations. Ils rappellent aussi des propos de François Hollande dans sa profession de foi lors de l'élection présidentielle: « L'éducation ne devra donc pas seulement faire des élèves des “consommateurs” de l'informatique, mais aussi des “créateurs” qui sauront décoder et surtout “coder” cet univers. » L'association va organiser samedi une conférence de presse à Tulle pour exprimer son mécontentement.
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