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D’un côté, une maison d’argile rudimentaire, imprimée en 3D pour presque rien grâce à une machine géante italienne. De l’autre, une cabine en bio-plastique à louer pour la nuit des architectes néerlandais DUS.
La course à la première maison 3D durable s’accélère. Après le premier hôtel de luxe, jacuzzi inclus, imprimé en 3D aux Philippines en 2015, les prouesses technologiques de l’entreprise chinoise Winsun (son village assemblé en 24h, son immeuble de cinq étages et sa villa de 1000m2) ou encore le Contour Crafting, cette méthode développée aux États-Unis qui permet la construction d’édifices en un seul bloc et à large échelle, c’est à l’Europe de montrer ses muscles en matière d’impression 3D pour l’architecture.
La Californie s'est dotée d'une nouvelle législation sur les armes imprimées en 3D, afin de recenser les propriétaires et vérifier leurs antécédents. La revente et la cession d'une arme imprimée en 3D sont interdites.
Elles ne sont certes pas fabriquées de manière conventionnelle, mais elles sont tout à fait capables de causer des dégâts très importants. Dans ces conditions, il vaut mieux les soumettre à une législation qui doit permettre d’éviter que le premier venu puisse en détenir une sans aucune autorisation. « Elles », ce sont les armes à feu construites au moyen d’une imprimante 3D.
A Bordeaux, Poietis imprime des cellules vivantes. Brevets à l’appui, l’entreprise vient de lever 2,5 millions d’euros pour développer sa technologie guidée par laser d’impression en haute définition de tissus humains.
Les chercheurs de HRL Laboratories en Californie ont développé une méthode pour imprimer en 3D un matériau céramique résistant aux hautes températures. Publiée dans le numéro de janvier 2016 de la revue Science, leur technique permet de créer des structures complexes et robustes capables de tenir les 1 700°C.
Une résine contenant des molécules céramiques est imprimée par couche de 100 microns puis polymérisée à la lampe UV. Ensuite, la forme est cuite lentement à 1 000°C en présence de gaz argon. Le processus de cuisson élimine les éléments chimiques superflus, laissant place à une structure céramique uniforme dont la surface n’est plus poreuse. Par ailleurs, les formes à micro-maillage ou les structures en nid d’abeille obtenues montrent davantage de résistance que les mousses céramiques traditionnelles de densité similaire.
Simplify3D propose sur son site une page qui peut servir à tous les usagers de l’impression 3D. Le site de ce logiciel de pilotage d’imprimantes 3D présente un catalogue des malfaçons que l’on peut rencontrer dans la qualité d’impression des objets. En anglais, le site propose d’emblée une vignette, un titre simple et deux lignes d’explications qui permettent d’identifier d’un seul coup d’œil à quoi on a affaire.
Léger et totalement transparent, le 3Dvarius est le 1er violon entièrement imprimé en 3D. © Thomas Tetu Jouer sur Stradivarius, un rêve de violoniste ?
Médecin à Gaza, Tarek Loubani a lancé le projet Glia, qui fournit des plans d'équipements médicaux libres et open-source pour le monde entier. Son premier projet, un stéthoscope à 30 centimes, serait aussi performant que les matériels professionnels les plus chers.
PLEN2, est un robot open source créé par « PLEN Project Committee ». Sa particularité ? Il est créé à partir de l’impression 3D. Après une fructueuse campagne Kickstarter, l’équipe de développement travail sur la distribution.
L’impression 3D est décidément étonnante. Après les lentilles de contact, les robots. PLEN2, est un robot en kit qui s’imprime grâce à une imprimante 3D. Et en plus, il est en open source. Bref, autant dire que ça nous envoie du rêve.
"Visitors born in far away climes or even at our own front door, are helping us to design an extraordinary machine which is for killing what exists, so that what does not exist may be complete." Louis Aragon, A Wave of Dreams (1924)
We invite submissions to an open-source ‘Cookbook’ of radical ideas that cut across the arts, engineering, and sciences. Inspired, in part, by William Powell’s The Anarchist Cookbook (1969) The 3D Additivist Cookbook will contain speculative texts, templates, recipes and (im)practical designs for living in this most contradictory of times.
En janvier 2014, Aaron Rowely lançait la startup Electroloom avec la volonté de proposer la première imprimante 3D de textile au monde. Après un an et demi de développement, la société originaire de San Francisco ouvre aujourd’hui une page de collecte sur Kickstarter afin de financer le projet et soumettre ses premiers modèles pour des tests grandeur nature.
À 27 et 32 ans, Jennifer et Fabian ont délaissé le calme de leur Suisse natale, et leurs jobs dans le design, pour une aventure écologique. Le jeune couple est en ce moment à Taghazout, un village de pêcheur également spot de surfeurs mondialement connu, pour leur projet appelé « Project Seafood ». L’an dernier, ils ont eu l’idée de partir sur la route avec un équipement 3D pour créer des objets et nettoyer à leur manière les plages.
Cette semaine se tient le salon 3D Print Week à New-York, l’occasion de tester les dernières imprimantes 3D, d’assister à des conférences d’experts en impression 3D ou de découvrir les applications les plus folles dans les secteurs du médical, de la mode ou de la robotique. Mais c’est également le moment choisi par certaines startups pour dévoiler leurs concepts originaux, comme 3DShook, un petit nouveau dans les plateformes en lignes de modèle 3D.
Avec un lancement officiel prévu le 16 avril prochain, 3DShook permettra de télécharger à volonté des fichiers imprimables pour un abonnement mensuel de $14,99, soit environ 14€/mois. À la manière de Netflix pour les films, Deezer ou Spotify dans la musique, 3DShook se lance ainsi sur un modèle similaire pour les propriétaires d’imprimantes 3D personnelles.
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La Nasa appelle à l'aide des citoyens américains dans son projet d'habitat de la planète Mars. La deuxième phase de son concours, avec 1,1 million de dollars à la clé, se concentre sur l'impression 3D.
La Nasa continue de faire appel aux citoyens américains — et aux possesseurs d’une green card — dans le cadre de son concours dédié à la conception du futur habitat humain sur la planète Mars. Après avoir lancé la première phase, consacrée au design de ces structures, en mai 2015, elle poursuit aujourd’hui avec l’étape suivante, dédiée à la technologie d’impression 3D.
Les plâtres actuels, faits comme leur nom l'indique de plâtre et de fibre de verre, n'ont pas radicalement évolué depuis longtemps. Mais l'impression 3D pourrait rénover la manière de traiter les fractures.
La technique médicale de la greffe d’organe et la technologie de l’impression 3D pourraient bien avoir franchi toutes les deux une étape décisive. Relayés dans une revue scientifique américaine, des spécialistes annoncent avoir réussi l’exploit d’imprimer des parties du corps humain.
Sometimes 3D printing is not enough. Additive manufacturing disrupted the scene, but in a vast number of cases, subtractive methods are still the way to go. Like all technologies, 3D printing has its limitations, stemming from the very foundation of how 3D printing works.For some designers and engineers this technology still falls short of results of other rapid prototyping or fabrication methods they are used to, naming injection molding, or CNC milling as some examples. And the arguments are strong – limited materials, hence limited mechanical and aesthetical properties and in some cases even cost efficiency of production. And when 3D printing is not enough, the obvious choice is to reach for a different technology.
Je commence à regarder un peu comment concevoir mes propres modèles 3D afin de les imprimer et un ami m'a conseillé AutoDesk Fusion 360 pour dessiner mes modèles.
Ça a l'air bien complet, toutefois, c'est aussi complexe donc long à prendre en main. Puis je suis tombé sur Tinkercad, un outil de modélisation 3D totalement en ligne qui est vraiment facile à utiliser.
Après les maisons, les ponts ! Ce n’est pas encore le viaduc de Millau, mais Amsterdam va accueillir le premier pont en acier jamais imprimé en 3D. Lancée le 16 octobre, la construction opérée par la société néerlandaise MX3D va surplomber l’un des canaux du célèbre Quartier rouge.
Les possibilités de la technologie 3D continuent de s’élargir et son utilisation de se démocratiser. En Espagne, un patient a reçu un implant en titane customisé, imprimé en 3D, afin de remplacer une partie de sa cage thoracique, qui lui avait été retirée au cours d’une opération.
C’est une première en France. Maxence, un petit garçon de six ans, vient d’être équipé d’une main droite entièrement fabriquée à l’aide d’une imprimante 3D. Un généreux bénévole a conçu cette main pour seulement 50 euros. Quand les nouvelles technologies et l’économie solidaire se mettent au service d’une noble cause, cela donne une histoire pleine de sens…
Les imprimantes 3D grand public se démocratisent petit à petit et de nombreux projets d’innovation essaient de repousser les limites de ce que ces petites machines peuvent faire, tout en continuant à en baisser le coût.
L’artiste iranienne Morehshin Allahyari s’engage dans la reproduction en impression 3D des sculptures millénaires détruites à Mossoul en février par les djihadistes de Daech.
Simple curieux, jeune designer, maker dans l’âme, chercheur ou économiste, 3Dnatives vous propose aujourd’hui une liste d’ouvrages dédiés à l’impression 3D et à la fabrication additive.
Imaginez, vous faites tomber votre tasse, elle explose au sol... Ce n’est pas grave ! En quelques clics et grâce à votre imprimante 3D, vous en fabriquez une nouvelle à votre goût... Pour les « makers » (ceux qui fabriquent), cette -fiction est déjà une réalité. Grâce aux machines numériques et au partage d’informations au sein de la communauté, ces bidouilleurs du XXIe siècle entendent sortir de la consommation passive pour innover, fabriquer ou réparer eux-mêmes leurs objets, luttant ainsi contre l’obsolescence programmée et la standardisation.
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