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Google Play Music, le discret service de Moutain View a bien des qualités. Néanmoins sans application de bureau, Play Music n'est pas un citoyen de première classe sur nos ordinateurs. Heureusement, il existe désormais un client non-officiel et open source pour Linux, Mac et Windows. Présentation.
Léger et totalement transparent, le 3Dvarius est le 1er violon entièrement imprimé en 3D. © Thomas Tetu Jouer sur Stradivarius, un rêve de violoniste ?
Pour illustrer une présentation, une vidéo corporate, un clip, une vidéo YouTube, une présentation IRL voire un spot TV, la musique peut avoir toute son importance. Si vous voulez intégrer la musique d’un groupe qui vous plaît, vous devrez signer un contrat d’édition, afin d’utiliser les créations musicales. Le prix varie évidemment selon la notoriété du groupe, mais une synchronisation est toujours onéreuse, même si vous ne choisissez ni Daft Punk ni Pharell. Il existe néanmoins des solutions (certes un peu moins glamour) gratuites ou peu coûteuse pour intégrer des musiques dans vos différents supports. Voici une liste de sites qui vous permettront de trouver des créations selon vos besoins. Certaines sont gratuites, d’autres coûtent quelques dizaines d’euros. Les droits d’utilisation des différentes musiques varient aussi, selon les licences. Rappelons qu‘il existe 6 types de licences Creative Commons, et que certaines permettent par exemple l’utilisation commerciale, alors que d’autres l’interdisent.
Via Patrick W., jlkpodar
Un piano à partir d'une boîte de sardines ou encore un hochet en capsules écrasées. L'association la Lutherie Urbaine vous propose de fabriquer des instruments de musique un peu particuliers, à base de matériaux recyclés.
Si vous êtes musicien et que vous souhaitez mettre en ligne des partitions ou des tablatures, il existe une bibliothèque JavaScript capable de générer du HTML5 + des SVG à insérer dans vos pages.
Un nouveau service, Music Drop, vous propose d’imprimer en 3D une boîte à musique personnalisée. Cette boîte à musique reprend le fonctionnement habituel d’une boîte à musique : des lames d’acier sont mises en vibration par des petits picos, habituellement positionnés sur un rouleau. La succession de pics recrée une mélodie au fur et à mesure qu’ils mettent en vibration les différentes lames d’acier. Music Drop reprend donc ce principe, et y ajoute une dimension très ludique. En vous rendant sur leur site, vous pourrez composer vous même votre mélodie à l’aide d’un petit logiciel en ligne qu’ils mettent à votre disposition, et qui va simuler votre mélodie au fur et à mesure que vous allez la construire. Vous aurez ainsi un rendu audio de ce que sera votre Music Drop une fois qu’elle sera imprimée.
L’actu était assez riche aujourd’hui mais pour être franc avec vous (les vacances n’y étant sans doute pas pour rien), je n’avais pas très envie de faire du changelog ou du Kernel. D’ailleurs je me demande au passage si je vais continuer avec la rubrique Kernel, dont l’utilité est « toute relative ». Quoi qu’il en soit ayant un peu plus de temps ce mois-ci, je préfère l’utiliser pour découvrir de nouvelles choses et les partager avec vous, quitte à faire un peu moins de billets. Donc suite à l’article sur Flacon et face à la mini levée de boucliers dans les commentaires me disant que Xcfa est bien mieux, j’ai voulu le tester. En effet il est pas mal du tout et même si ce n’est pas une nouveauté, tout le monde ne le connaissant pas forcément je me suis dit qu’il méritait bien son petit billet.
Robert Douglas et sa femme pianiste Kimiko Ishizaka sont à l’initiative d’un magnifique projet : libérer la musique classique pour la mettre directement dans le domaine public (enregistrements et partitions). En effet, même si les auteurs sont généralement depuis longtemps dans le domaine public, les enregistrements eux ne le sont pas et sont soumis au strict copyright (idem pour les partitions qui appartiennent à leurs éditeurs).
Le saviez vous ? La sortie son analogique du Raspberry Pi est pilotée par un signal PWM (Pulse Width Modulation). Oui du son fait à partir de signaux tout ou rien modulés en durée… C’est le circuit placé derrière et… votre oreille qui intègrent ces impulsions pour « essayer » d’en refaire un son. Ne vous attendez donc pas à de la HIFI ! Passionné par l’audio, pasdesignal (c’est son pseudo) a réalisé un prototype fonctionnel de carte son pour le Raspberry Pi qu’ilouvre à l’open source.
Michael Tiemann est vice-président de Red Hat mais il est aussi impliqué dans un ambitieux projet autour de la musique, The Miraverse qui propose notamment un studio d’enregistrement (fonctionnant, en toute logique, à l’aide de logiciels libres). Il nous livre ici le fruit de ses réflexion en s’appuyant sur des citations de Glenn Gould et un projet dont nous vous reparlerons à la rentrée car Framasoft en sera le partenaire francophone : The Open Goldberg Variations. La première édition du projet avait donné lieu à l’enregistrement directement dans le domaine public des Variations Goldberg de Bach. Il s’agira cette fois-ci d’enregistrer ensemble Le Clavier bien tempéré.
On vous en avait déjà parlé, le voici lancé : la « Cultural Commons Collecting Society » sera officiellement créée le 30 septembre sous la forme d’une société coopérative européenne ! Pour bien mesurer la portée de la nouvelle, il s’agit créer un concurrent à la GEMA (équivalent de la SACEM en Allemagne), brisant ainsi un monopole de près de 80 ans ! Non content d’entreprendre ce projet pharaonique, le C3S envisage à terme d’être pan-européen, et de de venir la société de gestion de droits de l’ère numérique ; la société de gestion des musiques libres.
Avant d’être un outil, le logiciel est une création de l’esprit. Et pour les programmeurs les plus inspirés, le code peut s’apparenter à une création artistique. Il est donc logique que la défense et la promotion du logiciel libre soient assez vite allées de pair avec la volonté de rendre libres d’autres créations de l’esprit, d’autres domaines artistiques.
La culture, bien vite, a exploré cette nouvelle façon d’aborder l’échange des créations de l’esprit… La musique a été un des premiers domaines où des expériences libres ont eu lieu à grande échelle. Martin, un tout jeune étudiant qui a conçu le site Framazic, nous parle du tournant culturel pris par l’association Framasoft.
Mod Kits DIY lance une nouvelle gamme de kits d'électronique pré-câblés pour guitare appelée MOD Prewired Assemblies.
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Loin des boîtes à musique vendues dans les magasins de jouets, l’instrument développé par le musicien suédois Martin Molin ne joue pas de simples comptines. La « Machine à billes », conçue en quatorze mois par Wintergartan, propose aussi des percussions et des cordes, entre autres, à l’aide d’un mécanisme sophistiqué qui s’appuie sur tout un système de 2 000 billes. La « Machine à billes » est aussi programmable, et ne demande pas seulement d’actionner une manivelle. Un projet dantesque, mais le musicien envisage d’améliorer sa machine pour partir en tournée.
Quatre étudiantes de l’Institut en design d’interaction de Copenhague ont conçu « Tell Me », une boîte à musique connectée pour transmettre des « sons d’humeur ».
Lassé de balancer l’ultime selfie ? La communication du futur telle qu’imaginée par quatre étudiantes du Copenhagen Institute of Interaction Design (CIID) ne passera pas par l’image mais par le son. Via un petit boîtier équipé d’un Arduino, de capteurs capacitifs et de wifi, les sons captés à partir de l’environnement direct (une montre, une plante, un trousseau de clés, un paquet de gateaux…) sont rejoués et modifiés sur la boîte façon Makey Makey, le petit kit ludique qui fait chanter les légumes, ou transmis d’une boîte à l’autre, comme le proposait l’un des premiers objets connectés de l’Internet des objets, le lapin Nabaztag.
Cette semaine, une information est parue sur Slate dans un article d’Andréa Fradin sur l’économie de la musique, qui n’est pas une bonne nouvelle pour ceux qui pensaient qu’Internet pourrait devenir un instrument de diversification culturelle. Une étude économique du marché de la musique tend en effet à montrer qu’Internet renforce le phénomène des "popstars" et la concentration de l’attention sur un tout petit nombre d’artistes : 1% seulement d’entre eux capteraient 77% des revenus du secteur.
Faire de la musique par la pensée, une idée fantasque ? C’est pourtant la trouvaille d'Eduardo Miranda, un compositeur qui vient de développer un système capable de réaliser des morceaux à partir de nos rêves musicaux. Un nouveau souffle pour le monde de la composition mêlant neuroscience et informatique que nous rapporte la BBC. C'est pour répondre à la fameuse peur de la page blanche, bien connue des compositeurs et romanciers, qu'Eduardo Miranda a proposé cette solution radicale : court-circuiter l'étape du stylo ou du clavier pour traduire les pensées directement en musique ! Le principe ? A l’aide d’un casque couvert d’électrodes et de fils électriques, un ordinateur étudie les différentes interprétations du porteur et génère un morceau à partir des signaux électriques émis.
Il s'agit en fait de capter les ondes dégagées par le cortex visuel de l'utilisateur produites lorsqu'il se concentre sur différents motifs et échantillons sonores décrits sur un écran. Ces signaux électriques sont alors retransmis directement à l’ordinateur qui les analyse et les traduit en une phrase musicale.
Dégoulinantes de bons sentiments et de joie de vivre les chansons de Noël vous foutent au mieux la nausée et au pire engendrer de graves lésions au cerveau. Les artistes DIY ont aussi un coeur et aime le papa Noel presque autant que le Last Christmas de Wham! Quand les synthés remplacent les violons c’est pas toujours mieux…
Si vous avez des albums audio contenu dans des fichiers Flac ou autres, vous aurez peut-être envie d’en extraire les pistes et de les convertir au format OGG ou mp3 sans vous prendre la tête. Si c’est le cas Flacon est peut-être le soft qu’il vous faut. Celui-ci va vous permettre en effet d’extraire les titres de différents types de fichiers en pistes individuelles et ce dans les principaux formats audio disponibles. Au niveau des fichiers d’entrée Flacon prend en charge les extensions FLAC, WAW, WavPack, True Audio (TTA) et pour ce qui est des formats de sortie, vous pourrez choisir entre les extensions FLAC, WAV, WavPack, AAC, OGG ou MP3. L’autre point fort de Flacon est qu’il peut détecter automatiquement les caractères présents dans les fichiers CUE et qu’il permet d’utiliser la compressions multi-thread. Si ça vous intéresse vous pouvez profiter de la sortie de Flacon en version 0.9.1 pour le tester et voir s’il peut vous convenir. Cette nouvelle version n’embarque pas de nouveautés importantes, mais il est quand même bon de signaler que depuis la version 0.9, Flacon a été complètement réécrit en C++.
Il confectionne lui-même, à la main, les pochettes des différents volumes de son album qui, ensemble, forment un sémaphore. Il ne se produit jamais dans les bars mais directement chez ses fans qui veulent bien l'accueillir. Charly & Sa Drôle de Dame, qui a décidé de se passer de maisons de disques, a choisi d'assumer son statut d'artisan. Et de le défendre avec fierté, et talent.
Si vous avez envie de vous mettre à la MAO (musique assistée sur odrinateur) sous GNU/Linux Qtractor est un soft qui peut éventuellement vous plaire. Qtractor permet de disposer d’un séquenceur multipiste audio / MIDI, utilisant entre autres ALSA et JACK pour fonctionner. Il est écrit en C + + et embarque une interface basée à l’heure actuelle sur Qt4 (4.8.5). Ses fonctions sont très nombreuses mais si nous devions en citer quelques unes, on notera que Qtractor permet l’enregistrement et le séquençage audio en MIDI, qu’il permet de piloter plusieurs claviers (synthétiseurs) virtuels, qu’il permet une édition linéaire non destructive de vos fichiers, que vous disposez d’un nombre de pistes illimitées par projet, de pas mal de raccourcis clavier et d’une foule d’autres choses bien sympathiques. Le seul point négatif est que bien qu’il soit Libre et publié sous licence GPL, Qtractor peut nécessiter (selon la méthode d’installation) le téléchargement de paquets non Libres. Si cela vous tente quand même, nous allons nous arrêter brièvement sur la publication de Qtractor en version 0.5.11 et voir comment nous pouvons procéder à son installation.
MOD Kits DIY présente le Persuader Deluxe, un nouveau kit d'overdrive à lampe à monter soi-même.
Zthee, alias The Human Comparator, travaille sur le prototype d'un clône DIY de l'ARP 2600 appelé Two Thousand Six Hundred, ou TTSH. Le TTSH, qui devrait être disponible à l'automne 2013 sous la forme d'un kit, comprendra les PCB et la façade. Zthee précise que tout sera pré-câblé et que les PCB seront montées. Vous n'aurez donc qu'un minimum de câblage/soudure à faire (les CV, gate et triggers ainsi que les enceintes). Tous les modules disposeront de leur propre alimentation et des LEDs à luminosité réglable seront montés sur les sliders. Le TTSH est fabriqué en Suède.
Peter Kirn et James Grahame annonce la sortie de MeeBlip Micro Black, une nouvelle version de leur synthé numérique DIY. Voici les nouveautés apportées à MeeBlip Micro Black : Ajout d'un port USB pour le MIDI et la programmation/mise à jour du firmware : les connecteurs MIDI DIN sont toujours présents et le port est Class Compliant, ce qui veut dire qu'il est possible de l'utiliser avec un iPad via le kit caméra USB d'Apple Possibilité d'ajouter plus de contrôles et de commuter directement les entrées grâce au multiplexage 16:1 Bouton de sauvegarde des snapshots en mémoire pour le patch en cours d'utilisation, avec mémorisation jusqu'à l'extinction de MeeBlip. Ce bouton sert aussi à changer le canal MIDI de réception par défaut
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