Diving deeper into the world of open source, free and collaborative projects, I find myself more and more confused about the vocabulary being used.
It feels like over time time layers of thinkers and activists created their own definitions. Words are being used in all kind of contexts and many of us are too shy to admit we sometimes don’t fully get it.
Is “generative design” different from “mass customization”? What is “sharing economy” compared to “collaborative consumption” and “peer to peer economy”? “Open source” versus “free”? Is “sustainable” the same than “cradle to cradle” or “biomimicry”?
If we want to make a change in this world and build the foundation of a free society, we need to communicate better. Using words that only a small percentage of the population understand is not going to help.
This article is about defining concepts to better understand what we are all talking about.
Le principe de MultiBàO (pour Multi Boîte à outils) est simple : Public cible animateurs de réseaux collaboratifs publiant sur leurs sites web des ressources participatives sous des licences libres...
La chasse au site de torrents est ouverte depuis longtemps... Certains disparaissent, d'autres naissent et d'autres encore ressuscitent. On attend d'ailleurs la résurrection imminente de The Pirate Bay...
Le problème, c'est qu'à chaque disparition, c'est une certaine quantité de données qui risque à chaque fois de disparaitre définitivement. C'est pour cette raison qu'est né BitCannon.
Le QR code est un type d’encodage visuel à deux dimensions créé en 1994 pour le besoin des usines Toyota au Japon. Rendu public et sous licence libre en 1999, il est devenu populaire grâce aux smartphones dans les années 2000. Son petit frère le code-barres classique, créé en 1952 (celui que l’on retrouve sur tous les produits de la grande distribution), est quant à lui à une seule dimension ou à lecture linéaire.
En termes de performance le QR code peut contenir 7089 caractères numériques (ou 4296 alphanumériques) alors que le code-barres peut en contenir seulement 13 ! Un énorme avantage pour le QR Code qui lui permet de stocker des informations plus variées… dont une clé Wifi, même complexe ^^
The Pirate Bay fera bien son retour, mais sous une forme à laquelle on ne s'attendait pas forcément.
"L'ère des sites individuels de téléchargement de torrents est terminée".
C'est en partie le message qui apparaît sur une page publiée par isohunt.to, nous proposant de créer notre propre clone du célébre site de partage de torrents : The Pirate Bay.
Sur quelles bases juridiques, économiques et sociales se développent ces projets collaboratifs à l'échelle planétaire ? Quelles sont les opportunités pour nos territoires ? Quels sont les enjeux citoyens de ces communs numériques ? Quels sont leurs liens avec le mouvement de l'opendata dans le cadre duquel administrations et collectivités libèrent massivement les données publiques à leur disposition ?
APITUX s'implique dans les communautés du logiciel libre depuis 1997. Il répond aujourd'hui à l'invitation du Conseil de développement du Pays dignois pour nous parler de ce mouvement que certains chercheurs qualifient d'utopie concrète et qui pourrait bien changer durablement les rapports que nous entretenons avec le numérique. Rendez-vous mercredi 15 octobre à 18h, dans l'amphithéâtre de l'IUT, 19 boulevard Saint-Jean Chrysostome à Digne.
La semaine dernière, s’est tenu à Lyon le 80ème congrès de l’IFLA, l’association internationale des bibliothécaires, qui a suivi la réunion à Strasbourg la semaine précédente d’un Satellite Meeting de son Comité spécialisé dans les questions juridiques. J’ai eu la chance de participer à ces deux événements, en tant que représentant de La Quadrature du Net, et les discussions furent très instructives quant à la stratégie générale suivie par les bibliothécaires en matière d’évolution du droit d’auteur, qui soulève un certain nombre de questions.
Si je vous demande de mettre une vidéo en ligne rapidement, vous allez me proposer plusieurs solutions. Mais globalement, ce sera :
Fous là sur un FTP et mets un bout de code HTML5 pour avoir le player sur une page
Balance là sur YouTube (ou service similaire)
Et si je vous disais que vous pouvez créer là maintenant tout de suite, votre propre YouTube à héberger sur votre serveur à la maison (ou ailleurs) ? Hé oui, vive la décentralisation !
C'est ce que propose MediaGoblin, une application web libre (AGPLv3) qui permet d'héberger des photos, des vidéos et de l'audio facilement et de visualiser ces contenus directement dans votre navigateur.
Cette semaine, une information est parue sur Slate dans un article d’Andréa Fradin sur l’économie de la musique, qui n’est pas une bonne nouvelle pour ceux qui pensaient qu’Internet pourrait devenir un instrument de diversification culturelle. Une étude économique du marché de la musique tend en effet à montrer qu’Internet renforce le phénomène des "popstars" et la concentration de l’attention sur un tout petit nombre d’artistes : 1% seulement d’entre eux capteraient 77% des revenus du secteur.
Kayli Levitan and Max Pazak work in an advertising agency in Cape Town, South Africa. The area around their workplace is hip, but like many urban areas it has a large homeless population.
Inspirée par les radios pirates et le mouvement de la culture libre, la BiblioBox est un dispositif mobile et autonome de partage de fichiers. Elle utilise les logiciels libres et les logiciels Open Source pour créer un réseau de communication sans fil et de partage de fichiers où les utilisateurs peuvent échanger images, vidéos, fichiers audios, documents et autres contenus numériques anonymement.
Les Bibliobox ne permettent pas pour l'instant de déposer des fichiers mais tous les contenus qui s'y trouvent sont téléchargeables librement et gratuitement.
La BiblioBox est sûre et sécurisée. Elle ne demande pas d'identification et ne retient pas de données de l'utilisateur. Afin de respecter la confidentialité pour l'utilisateur, elle n'est pas connectée à internet.
A l'heure actuelle 4 médiathèques sont équipées d'une Bibliobox : Federico Fellini, Jean-Jacques Rousseau, William Shakespeare et Emile Zola. Vous pouvez vous y connecter depuis n'importe quel appareil captant le Wifi : ordinateur, téléphone, tablette...
Lors de la dernière rencontre du réseau francophone des biens communs, les démarches d’éducation populaire ont été évoquées à plusieurs reprises. Des groupes de travail doivent se mettre en place afin de poursuivre dans cette logique, dont un notamment, autour de l’idée d’école ou d’université populaire des communs.
Différentes initiatives s’inscrivent dans une logique d’école ou université populaire des communs. Celles que nous connaissons le mieux sont l’école des Communs de Barcelone, celle de Londres, ou l’université d’été qui se déroule en Allemagne depuis quelques années. A Montréal, une rencontre « A l’école des communs » s’est déroulée à la fin de l’année 2012.
Du 23 au 25 mai, Wikimedia France organisait un hackathon près de Lyon. 250 membres d’une communauté forte de millions de contributeurs bénévoles s’y sont réunis pour améliorer le partage des savoirs.
La Casemate annonce le lancement du logiciel Fab Manager, développé dans le cadre du programme Inmédiats, financé par les Investissements d’Avenir.
Ce projet open source est une solution de gestion d’un fab lab. Il permet aux animateurs/managers d’un fab lab, de présenter leur parc machine, d’éditer la description de leur lab, et de mettre en avant leur agenda (événements, stages, ateliers…). Côté utilisateur, à travers la création d’un compte personnel, il incite à documenter et publier ses projets pour les partager en ligne.
En 2010 le professeur d'art américain David Darts crée la PirateBox, dispositif conçu pour permettre l'échange et le partage de ressources numériques entre particuliers. Comment fonctionne la Box ? C'est simple, elle est constituée d'un routeur dont l'usage initial est légèrement détourné, et d'un dispositif de stockage d'information de type clé USB ou disque dur externe créant ainsi un réseau sans fil transportable n'importe où. La PirateBox présente la caractéristique d'être déconnectée d'Internet. Une fois connecté à cette dernière impossible de surfer sur le web, et l'échange des données se fait de manière anonyme puisque rien n'est loggé. Son utilisation reste cependant locale, une box ne pouvant émettre que dans un rayon d'une trentaine de mètres. C'est donc dans un contexte politique et militant affirmé que la PirateBox a vu le jour. Elle vise à défendre une conception de la neutralité du Net trop souvent attaquée, à travers les principes de surveillance, et permet de ne plus se poser la question des DRM, qui sont des systèmes de gestion des droits sous formes de verrous numériques.
Pour lutter contre l'utilisation de DropBox par ses ingénieurs, l'Ademe leur propose depuis plus d'un an un outil open source créé par des Français. Pydio répond notamment à leurs problématiques de sécurité et de partage de fichier avec des partenaires externes.
Inspirée par Popcorn Time, l'application nodeJS, Yify Pop permet elle aussi de regarder des films et des séries en streaming de fichiers Torrents.
La différence avec Popcorn Time, c'est qu'une fois mis en route, le service est accessible via son navigateur (mobile ou desktop, on s'en fout, c'est responsive).
Le réseau social libre et décentralisé qu'est Diaspora* à ceci de beau qu'il permet à n'importe qui de faire n'importe quoi avec les données publiques des utilisateurs et d'en tirer quelque chose de chouette.
Les publications publiques font, de temps en temps, le tour de beaucoup de pod. On s'en rend compte lorsque le nombre de repartage est conséquent mais nous n'avions aucun moyen de le visualiser. C'est là qu'intervient Diaspora ReShare Graph.
Si vous cherchez un moyen de chiffrer certains de vos fichiers présents sur un dépôt git, je vous invite à tester git-crypt. Ce logiciel utilise un algorithme de chiffrement AES-256 et permet de manière totalement transparente de synchroniser des fichiers tout en les protégeant des yeux indiscrets.
Il y a un peu plus d'un an, le système Library Box avait fait parler de lui, en promettant des partages de fichiers simplifiés, à partir du réseau interne d'une bibliothèque. Ce routeur open source met en place un fichier central dans lequel les utilisateurs peuvent venir piocher les livres numériques ou autres contenus culturels déposés par les bibliothécaires eux-mêmes.
Qu’est-ce que ce type de box ? Comme il est indiqué dans Wikipédia :Il s’agit d’un « dispositif électronique portable, souvent composé d’un routeur et d’un dispositif de stockage, créant un réseau sans fil qui permet aux utilisateurs qui y sont connectés d’échanger des fichiers anonymement et de manière locale. Par définition, ce dispositif est déconnecté d’internet ».
En se connectant à l’une des bibliobox installées, l'usagers peut télécharger des documents et logiciels du domaine public
Quatre médiathèques proposent des documents et logiciels en téléchargement libre : Émile-Zola, Federico-Fellini, Jean-Jacques- Rousseau et William-Shakespeare. Là, des bibliobox permettent aux usagers de télécharger sur leur ordinateur, smartphone ou tablette des documents et logiciels du domaine public ou sous-licences libres, sélectionnés par les bibliothécaires de l’Agglo. "Ce nouveau système de partage numérique libre, anonyme et gratuit, sert la mission première du réseau : la circulation de l’information et des œuvres", apprécient les responsables.
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