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"A lost portrait of one of the UK's earliest feminists has been bought by the National Portrait Gallery. The portrait, which is of Lady Anne Clifford by William Larkin and was painted in 1618, was recorded only in Clifford's diary entries until it was discovered eight years ago in a German private collection by gallerist Mark Weiss. [...] Lady Clifford was probably the country's wealthiest woman when she died in 1676, aged 86, after a lifelong battle for her inheritance from her father, George Clifford, Third Earl of Cumberland, which had been left to her uncle. She established the justice of her claims through archival research and legal disputes but mainly due to a persistence and determination that was rarely seen in public from a woman in such a male-dominated time. [...]"
Via Caroline Claeys, Alcofribas
La « Grande Peur » à Varennes-en-Argonne, en 1789 et 1790 fut loin d'être localisée ; les archives messines nous le montrent franchissant la Meuse, se répandant avec une rapidité extraordinaire dans les villages du Pays-Haut et descendant jusqu'aux bords de la Moselle. En 1790, cette nouvelle « terreur des brigands » se produisit dans les derniers jours de juillet et eut pour origine la crainte d'une invasion autrichienne. En vertu de la convention, signée le 17 mai 1769, à Versailles, entre la France et l'Impératrice-Reine-Apostolique de Hongrie et relative à des rectifications de la frontière nord, il avait été reconnu à la France le droit de passage pour ses troupes dans le comté de Beaumont, à condition de ne pas y séjourner. Il n'était pas question de réciprocité à l'égard des troupes autrichiennes, celle-ci n'ayant pas sa raison d'être ; le droit reconnu à la France découlait pour elle de la possession des deux petites places de Philippeville et Marienbourg, enclavées dans les possessions autrichiennes...
Via Brigitte Snej
In 1926, historian Carter G. Woodson pioneered the celebration of Negro History Week in February as a recognition to coincide with the birthdays of President Abraham Lincoln and Frederick Douglass...
Via musée du quai Branly - Jacques Chirac
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Au centre de cette histoire se trouve une enfant, née semble-t-il à Versailles à une date qui ne nous est pas parvenue (peut-être en 1664), par contre nous connaissons celle de sa prise de voile à Saint-Cyr : le 30 Septembre 1695, sous le haut patronage de la "reine in partibus" Madame XIV, Marquise de Maintenon. La jeune noniale, passera sa vie au couvent de Moret-sur-Loing, près de Fontainebleau, répondant au double prénom de Louise-Marie-Thérèse, qui entretiendra l'ambiguïté de ses origines. Elle se prétendra de sang royal, et sera toujours traitée avec de grands égards par les plus hauts personnages de la cour. Voici donc relatée telle que je l'ai apprise des rares ouvrages qui parlent d'elle l'histoire de la Moresse de Moret....
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Habilement composé de cent courts chapitres (une double-page illustrée de documents de belle qualité), le livre nous fait cheminer à la fois chronologiquement et thématiquement dans cette longue suite de découvertes et d’inventions qui ont produit autant de discours théoriques, de genres artistiques et d’usages professionnels que le médium le permettait. Par ces regards croisés sur l’évolution de la photographie, l’auteur nous rend sensible à ce qui caractérise toute histoire de l’art, à savoir l’interaction permanente entre des techniques et des matériaux d’une part, des idées, des formes et des usages d’autre part. Sans s’appesantir sur les rôles décisifs de tel ou tel découvreur, de Niepce à Talbot en passant par Daguerre, les frères Lumière ou Eastman, M.W. Marien s’attache en priorité à montrer l’évolution constante de cet art qui a accompagné et s’est nourri des progrès scientifiques, des changements sociaux ainsi que des courants philosophiques et picturaux des XIX°, XX° et XXI° siècles...
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Un musée de Mannheim expose la plus ancienne photo au monde, du Français Nicéphore Niepce, qui date de 1826 et n'avait pas été montrée en Europe depuis un demi-siècle.
« Ménilmontant mais oui madame ; c’est là que j’ai laissé mon cœur... » Trenet a composé la chanson juste avant la guerre de 1939, pour célébrer le quartier de son enfance. Quatre-vingts ans plus tard, la « petite église » du premier couplet, Notre-Dame-de-la-Croix, surplombe toujours la colline. Mais l’ancienne gare, qui fut en service jusqu’en 1985 (« Où chaque train passait joyeux »), a été remplacée par une barre d’immeubles modernes, aux 7 et 11 rue de la Mare. La dépose des rails qui a suivi a donné naissance à la « coulée verte » ; les temps changent. Mais restons à Ménilmontant, donc, puisque c’est là que ça se passe, Ménilmuche, et remontons la rue en pente qui part de la station de métro homonyme. On dépasse là des bistrots où la pression mousse à deux euros au comptoir, et des traiteurs asiatiques ; XXe arrondissement, entre Belleville et l’Asie majeure. En haut de la bosse et en sueur, la rue Boyer dévoile sur sa droite, du 19 au 25, les édifices imposants, mais à la simplicité art déco manifeste, de feue la Bellevilloise : façades de briques et de béton armé, baies vitrées. Une plaque de la mairie de Paris rappelle que se déploya là l’une des plus belles aventures coopératives de la IIIe République : « Achat direct au producteur, vente directe au consommateur. » Dans le mur et en vis-à-vis se découpent en mosaïque les mots « Science » et « Travail », et puis : « La Bellevilloise, 1877-1927 ». Noces d’or de la coopérative avec le petit peuple parisien - justement la couleur des carreaux de faïence. Demeure l’air entêtant de Trenet : autre époque. Ou douce France....
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Partez en balade dans un Paris virtuel au moment de la construction du Louvre, de Notre-Dame, de la Bastille et de la tour Eiffel. Inouï !
Voici l’une des meilleures émissions historiques jamais réalisée, « Le Temps des cathédrales », à partir des travaux de l’historien George Duby. La série a été diffusée en 1980 par Antenne 2. Avec cette série de neuf émissions consacrées à l’art religieux du Moyen Age, c’est tout un monde lointain qui s’offre à nous. « Le Temps des cathédrales » vous fera découvrir l’art médiéval, tout tendu vers une seule destination, Dieu, mais aussi dans son contexte social et politique...
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Notre revue accueille dans ce numéro hors-série les textes réunis par les organisateurs du colloque "Survivance d'Aby Warburg" Sabine Forero-Mendoza et Bertrand Prévost...
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Dès l'annonce de la mort de Louis XVII au Temple le 8 juin 1795, des rumeurs commencent à circuler. On le dit toujours vivant et sous la Restauration, de nombreuses personnes, plus ou moins convaincantes, prétendront être Louis XVII, à l'exemple du célèbre Charles-Guillaume Naundorff. S'il y a eu tant de prétendants, c'est que la disparition de Louis XVII reste entourée de mystères. Et si la science semble avoir tranché en 2000, des zones d'ombres demeurent toujours...
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Un blog pour explorer le Paris industriel
Via Lutetia
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Scientifique du 16/17e s. très connue en Scandinavie, Sophia Brahe (ou en fr. Sophie Brahé) naquit en 1556 à Knudsturp au Danemark, la dernière de 10 enfants. Elle eut pour père Otte Brahe rigsråd (conseiller) du roi du Danemark ; et pour mère Beate Bille Brahe, gouvernante de la chambre de la reine Sophie. Le célèbre astronome Tycho Brahe, de 10 ans son aîné fut son frère. Sophie l'assista dans ses observations astronomiques, en particulier en 1573 lors de l'éclipse lunaire qu'il y eut cette année, et l'aida dans le travail qui a posé les bases du calcul contemporain de l'orbite des planètes. Ceci se passait dans l'observatoire d'Uranienborg, sur l'île danoise de Hveen. Tycho écrit qu'il initia sa soeur à l'horticulture et à la chimie mais qu'il ne lui enseigna pas l'astronomie. Il est fier de mentionner qu'elle apprit l'astronomie par elle-même, étudiant des livres en allemand, et en faisant traduire d'autres du latin avec son propre argent afin de pouvoir les comprendre...
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Le son est éraillé et ne dure que 78 secondes. Un enregistrement de 1878, provenant du phonographe de Thomas Edison, a été présenté jeudi 25 octobre aux Etats-Unis. les chercheurs de l'université de Berkeley ont réalisé l'exploit de restaurer cet enregistrement à l'aide d'un scanner optique...
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AU-DELÀ – L’étrange destin d’une statue tibétaine pillée par des nazis, et taillée dans une météorite...
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