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La Note de La Fabrique Ecologique et du Forum Vies Mobiles « Pour une mobilité sobre : la révolution des véhicules légers » issue du groupe de travail co-présidé par Jill Madelenat et Anne Fuzier est désormais disponible en ligne. La voiture électrique ne pourra répondre seule à la nécessité de réduire drastiquement les émissions de gaz à effet de serre liés aux transports, et plus largement aux impacts écologiques et sociaux de la voiture. Pourtant, c’est la solution portée en priorité par les pouvoirs publics. Cette note défend qu’une autre voie plus efficace est possible : développer une nouvelle gamme de véhicules beaucoup plus légers. A mi-chemin entre le vélo et la voiture : il s’agit des véhicules du type vélo à assistance électrique, tricycle, vélo mobile, triporteur, mini voiture…
A l'occasion de ses 26e Rencontres, qui se tiennent à Bourges jusqu'au 7 octobre, Vélo & Territoires a présenté les derniers chiffres sur la fréquentation vélo en France, arrêtés à début octobre. Ils montrent que les passages de vélos enregistrés par son échantillon de compteurs sur tout le territoire ont augmenté de 9% par rapport à 2021 et de 31% par rapport à 2019. Une fois de plus, cette tendance générale diffère selon les zones du territoire. Comme très souvent, septembre concentre les plus fortes fréquentations en milieu urbain avec 1.685 passages en moyenne par jour et par compteur contre 1.294 le reste de l'année. La fréquentation en ville poursuit ainsi sa progression (+12% par rapport à 2021 depuis le début de l'année et +2% pour le seul mois de septembre). Les évolutions par rapport à 2021 sont particulièrement marquées dans l'Eurométropole de Strasbourg (+23%), Dunkerque Grand Littoral Agglomération (+21%) et Grenoble Alpes Métropole (+19%).
Quatrième ville de France, Toulouse a mis en service ce 14 mai un téléphérique urbain, le plus long du pays, destiné à compléter, de façon décarbonée, son réseau de transport en commun.
Si 63 % des Français utilisent toujours la voiture pour se déplacer au quotidien, d’après la dernière enquête de l’Insee, depuis 2020, année de confinements et mesures de restrictions dus à la crise sanitaire, le nombre de cyclistes a augmenté de 40 %. Certaines entreprises proposent à leurs salariés des vélos de fonction pour réaliser les trajets domicile-travail, sans pour autant inclure ce service dans un forfait mobilités durables, dispositif qui peine à démarrer.
Carlos Tavares met en garde contre la fin des véhicules thermiques et les risques du tout électrique.
La start-up française, spécialisée dans la collecte, le traitement et la diffusion de données sur les services de mobilité partagée, entend profiter de cette levée de fonds pour consolider sa position sur le marché européen et s’ouvrir au transport à la demande.
Les draisiennes électriques sont désormais banales en ville. Ni vélo électrique, ni trottinette électrique, pas vraiment scooter électrique non plus, ces engins ne répondant à aucune réglementation dédiée sont pourtant proscrits sur la voie publique. Un décret vient de leur donner une existence propre et leur ouvre l’accès aux pistes cyclables. Mais la quasi-totalité des modèles déjà en circulation reste illégaux. Explications.
Lancé en 2017, le projet Energy Observer va franchir un cap cette année avec le lancement d’un navire de fret autonome et entièrement décarboné.
La voiture reste le mode de déplacement par excellence. Elle représente 80 % des 1 000 milliards de kilomètres parcours chaque année avec un véhicule motorisé, et le mode de transport utilisé pour les deux tiers des déplacements. Son essor date de la Seconde Guerre mondiale : on comptait 1,7 million de véhicules 1 en circulation en 1946, trente ans plus tard ils étaient déjà dix fois plus nombreux. Au début des années 1960, un tiers des Français disposent d’une voiture, en 1981 ils sont déjà plus de 70 %. En 2020, le parc automobile dépasse les 37 millions de véhicules.
Contrairement à un discours très présent dans les médias, à la fois irréaliste et idéologique, il est impossible aujourd’hui et dans un futur même assez éloigné de se passer de l’automobile. D’abord, pour des raisons purement rationnelles. Une partie importante de la population française ne peut tout simplement pas se passer de voiture pour travailler, se soigner, étudier, faire des courses et avoir une vie sociale. Et aussi pour des raisons moins rationnelles. L’automobile représente pour une partie importante des automobilistes autre chose qu’un simple moyen de transport. Elle fait partie de leur identité, de leurs aspirations voire de leurs passions. Le problème avec l’automobile est que l’attachement qui lui est porté tout comme la détestation dont elle fait l’objet sont très exagérés.
L’Autorité publie les premiers chiffres du « marché du transport par autocar librement organisé » au premier semestre 2021 et dévoile un bilan contrasté. Marquée par la crise sanitaire, l’activité du secteur y est en effet restée à un niveau très bas. Le marché a par ailleurs vécu une situation inédite avec Flixbus comme seul opérateur d’envergure nationale actif au 1er trimestre 2021
Les mesures prises à l'issue du premier confinement ont permis d'ancrer rapidement la place du vélo dans les mobilités quotidiennes. « En 2021, on ne peut pas rater l'étape de la pérennisation », prévient Pierre Serne, mardi 9 février, à l'occasion de la présentation de la troisième étude du Club des villes et territoires cyclables sur la dynamique des aménagements de transition. « Il faut très vite de bons signaux », plaide le président du Club, estimant que « la dynamique a ses fragilités et doit être accompagnée.
Près du tiers des actifs occupés du Grand Est travaillent à 5 km au plus de leur domicile, et les agriculteurs, artisans et commerçants sont plus souvent dans ce cas. De même, les femmes effectuent
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Face aux impératifs environnementaux, la congestion du trafic et la montée des prix de l’énergie, de nombreux projets et mesures sont mis en place en France et notamment en Île-de-France pour favoriser le développement du covoiturage. Une pratique qu’il est nécessaire d’encadrer par des mesures d’accompagnement pour maximiser les bénéfices environnementaux.
Alors que les Français se sont tournés de manière inédite vers la mobilité douce en 2021, en achetant plus de vélos neufs (2,7 millions) et de trottinettes électriques (1,8 million) que de voitures (1,65 million)(1), les usagers s’orientent également vers des solutions de partage, nécessitant un système d’identification.
En visite à Arles ce jour, Jean-Baptiste Djebbari, Ministre délégué chargé des Transports, a annoncé deux nouveaux programmes de Certificats d’économies d’énergie (CEE) en faveur du report modal et du transport fluvial et la fin des surcoûts de manutention pour le transport fluvial dans les terminaux portuaires du Havre et de Fos-Marseille pour l’ensemble des flux conteneurs acheminés par l’armateur CMA-CGM.
Ringarde hier, populaire aujourd’hui, starisée demain… du haut de ses 200 ans, la trottinette ne laisse pas grand monde indifférent. Qu’on l’adule ou qu’on la snobe, son usage intrigue, et son histoire passionne. Et pour cause : en deux siècles, les acteurs de la trottinette n’en ont toujours fait qu’à leur tête.
L’usage du vélo a fortement augmenté, telle est la principale évolution du bilan des déplacements de Paris en 2020. 2020, année zéro. Publié en décembre 2021, le bilan des déplacements de la ville de Paris pour 2020 offre un premier regard documenté sur la mobilité en cette année exceptionnelle, faite de confinements, couvre-feux, restrictions de circulation, sans oublier la queue de comète des grèves à la RATP et à la SNCF, qui privèrent les Franciliens de transports publics pendant un mois et demi.
Un collectif d’acteurs de la voie appelle les pouvoirs publics à réinvestir dans les voies navigables de petit gabarit pour y développer le fret mais aussi préserver la plaisance et le tourisme
Les mesures d’exposition individuelle à la pollution, qui se font en général au lieu de résidence, ignorent deux paramètres majeurs : l’exposition beaucoup plus importante lors des trajets et les variations des volumes d’air, et par conséquent de la quantité de polluants aériens, inhalés en fonction de l’activité physique des personnes lors de leurs déplacements.
Près d'un quart des Français adoptent la marche pour leurs déplacements quotidiens, notamment les femmes. Une part en légère progression par rapport à 2008. La part du vélo, elle, demeure marginale, signale une étude du ministère de la Transition écologique sur les déplacements du quotidien
“Le fluvial démontre sa pertinence dans les chantiers de grande envergure comme la construction des infrastructures sportives pour les Jeux de 2024 ou la réalisation du Grand Paris Express. Parce que plus les besoins de transport sont massifiés, plus le fluvial trouve sa pertinence économique.
Inciter les citoyens à utiliser des modes de transports plus doux, en simplifiant les démarches pour accéder aux aides des entreprises et des collectivités. Voilà le grand principe de l’outil "Mon compte mobilité" mis au point par le Ministère des transports. L’agglomération de Mulhouse et l’Île de France sont les premières à expérimenter cette solution.
Entre confinements à domicile, distances de déplacement limitées et gestes barrières, la crise sanitaire a fait gamberger les corps et les esprits sur les diverses manières de se mouvoir. Figures de la proximité urbaine, le cycliste et le piéton ont joué, un temps, les rois de l’asphalte. Devenu années après années le symbole des aspirations écologiques en matière de mobilité, le vélo a vu la mobilisation politique s’amplifier à son profit, coronapistes aidant. La marche… non !
La crise du covid a donné un véritable essor à la pratique du vélo en France. Ses promoteurs, le Club des villes et territoires cyclables en tête, insistent toutefois sur la nécessité de pérenniser les acquis… et de passer à la vitesse supérieure.
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