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S’inspirant du processus national, la commune des Ponts-de-Cé a mis en place de 2020 à 2021 des ateliers thématiques ouverts aux habitants. Cette séquence a abouti à la sélection de 27 actions prioritaires, choisies en conseil municipal, pour une transition écologique à l’échelle locale.
Des habitants membres de l’association Ventabren Demain et des élus de Ventabren ont développé eux-mêmes un parc photovoltaïque de cinq hectares : Solaris Civis. L’intérêt ? Les bénéfices seront reversés notamment à la commune et l’impact environnemental a été allégé, grâce à l’utilisation de panneaux recyclés et au soutien à l’agriculture locale.
En 2025, la place de la Concorde (8e) devrait changer de visage. L'objectif est à la fois de sublimer le site tout en l'adaptant aux enjeux du réchauffement climatique. Pour fixer les règles du nouvel aménagement, une commission d'experts, composée notamment d'anciens ministres de la Culture, vient d'être nommée, et les Parisiens sont consultés jusqu'au 29 mai sur la plateforme decider.paris.
À Saint-Méen-Montauban, le contexte Covid en début du mandat communautaire n'a pas facilité l'appropriation du projet de territoire par les nouveaux élus. Pour faire face à une perte de sens et un fort absentéisme au conseil communautaire, la communauté de communes s'est fait accompagner pour revoir sa gouvernance. À la clé, plus de délégations de votes au bureau ou au président, des conseils plus efficaces et recentrés sur les sujets à enjeux et des commissions plus vivantes.
Au cœur du Haut-Doubs, le village de Touillon-et-Loutelet n'a ni commerce, ni école, ni même église et nombre de ses habitants rejoignent chaque jour la Suisse pour travailler. Pour impliquer les habitants dans la vie locale et « faire communauté », le maire a lancé sa commune dans l'aventure des « Villages du futur », avec le soutien de la région Bourgogne-Franche-Comté. À la clé, des chantiers participatifs pour relancer la dynamique collective et donner l'envie de poursuivre ensemble l'aménagement du village.
Comment mieux habiter, se nourrir, se déplacer en Bourgogne-Franche-Comté pour limiter et s’adapter au réchauffement climatique ? Une trentaine d’habitants de Bourgogne-Franche-Comté participent jusqu’en juin 2024 à la convention citoyenne pour le climat et la biodiversité organisée par le conseil régional. Gros plan sur les transports lors de cette seconde session des 15 et 16 décembre 2023.
Ce jeudi 23 novembre, la ville d’Aix-en-Provence a reçu le colloque d’adaptation au changement climatique et la mobilisation citoyenne. Ce colloque était organisé par des agents engagés de la Région Sud, l’Ademe, le Cerema, l’Office français de la Biodiversité et le Grec Sud. La ville d’Aix-en-Provence a été choisie pour accueillir cet événement, à la suite de la décision du jury du Label régional Territoire Durable le 14 mars 2023.
Pendant trois mois, la population pourra donner son avis sur le projet du tramway express, mi-souterrain, de l’ouest lyonnais
Un premier état des lieux des initiatives à l'œuvre sur le territoire marseillais, puis découverte des initiatives inspirantes d'ailleurs, enfin 3 ateliers, animés par le Cerema, ILex et Euroméditerranée, ont ensuite été proposés dans l’après-midi
Dans le contexte actuel de changement climatique, la demande sociale d’agir au plus vite est en augmentation constante. Les démarches participatives associant les citoyens peuvent être une réponse, notamment sur les enjeux de l’eau.
Ancrée dans le principe juridique de “participation du public”, celle-ci prend forme principalement dans les articles L.103-2 à L.103-7 du code de l’urbanisme, l’objectif étant d’associer le plus tôt possible les habitants, les associations locales, ainsi que les autres personnes concernées, à l’élaboration de certains projets d’aménagement et de construction et de documents d’urbanisme (CEREMA, 2020).
L’éditeur franchit le cap symbolique des 10000 communes utilisatrices de sa solution, traduisant ainsi la forte adoption de ce type d’outils depuis la crise du Covid. En effet, cette dernière a mis en évidence l’importance, y compris dans les petites collectivités, d’utiliser le numérique pour faciliter et simplifier les échanges d'informations avec les administrés.
Huit ans après le vote de la loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine du 21 février 2014, et à la veille du renouvellement des contrats de ville, l’Agence nationale de la cohésion des territoires dresse un état des lieux des démarches participatives à l’œuvre dans les quartiers prioritaires de la politique de la ville.
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Le stationnement ? « Cette notion est secondaire car la priorité est le cheminement doux, poursuit Laurent Ollivier. C’est aller vers une autre philosophie, c’est réduire l’usage des véhicules motorisés pour le bien-être de la planète. Les aménagements se feront en application du Code de la route, en appui des études du Cerema et avec beaucoup de pédagogie. »
L’Atelier des Transitions Urbaines, fruit d’une synergie d’expertises transverses, s’impose comme une initiative novatrice pour imaginer l’avenir des quartiers urbains.
Une étude récente d'Eco CO2 révèle le paradoxe des salariés sur le numérique responsable entre usage quotidien et conscience environnementale.
Dans un entretien au Monde daté du 29 février, le nouveau ministre délégué chargé des transports, Patrice Vergriete, préconise la tenue d'une "convention citoyenne" sur la mobilité. Le successeur de Clément Beaune estime qu'au-delà de l'électrification de l'automobile, il faut "faire des reports vers d’autres modes de transport plus vertueux 'climatiquement parlant', comme le transport collectif, le covoiturage". Indiquant vouloir faire de "la mobilité de tous les Français" sa priorité, il assure qu'il "faut réduire" la "mobilité subie", citant l’exemple "de la personne qui parcourt 50 kilomètres pour se rendre à son travail ou qui doit se déplacer pour récupérer une pièce administrative".
La Métropole Européenne de Lille souhaite prendre en compte l’opinion de ses habitants dans le cadre de son projet de zones à faibles émissions (ZFE). Elle lance pour cela une consultation citoyenne en ligne afin de choisir entre deux scénarios.
Le 8 décembre s'est tenue la commission politique de la ville inter associations d'élus, composée de France urbaine, Intercommunalités de France, Villes et Banlieues, l'AMIF, l'AMF, l'APVF et Villes de France. Elle a été l'occasion de faire le point sur l'état d'avancement de l'élaboration des futurs contrats de ville, de la concertation citoyenne menée dans ce cadre et des partenariats à encourager.
Les ZAENR sur le territoire de Beaumont Une première cartographie identifiant les potentiels d’énergies renouvelables a été mise en ligne par le Cerema et l’Institut national de l’information géographique et forestière (IGN) via un portail cartographique. Ces cartes serviront de base de travail et de réflexion pour définir les futures ZAENR.
Sujet sensible, la politique de stationnement et de partage de l’espace public de la ville d’Arcueil a fait l’objet d’une convention citoyenne et suscité un vif débat démocratique, qui s'est conclu par un référendum. Plusieurs journées de travail, six au total, ont ensuite été organisées avec le soutien du Cerema Ce dernier informait les membres de la convention, afin de guider leur montée en compétences et de s’assurer qu’ils prenaient en considération des données réglementaires qui s’imposent à tous.
Dès son élection en 2020, la nouvelle équipe municipale de Durtal a souhaité développer la concertation citoyenne. Fer de lance de cette volonté, le projet de territoire Demain Durtal a fait l’objet d’une belle implication des habitants.
Les prochaines assises du territoire de Thau Ora Maritima organisées par le Syndicat mixte du bassin de Thau se dérouleront les vendredi 06 et samedi 07 octobre prochains. Créées pour aborder collectivement les grands enjeux du territoire, ces assises ont déjà passé en revue la thématique de l’eau en 2015, la pêche et les cultures marines en 2017, la transition écologique en 2019 et la transition alimentaire en 2021.
haque année en France, 300 commerces ruraux mettent la clé sous la porte tandis que 823 communes nouvelles sortent de terre. Ces communes rurales, regroupées pour des raisons administratives, ont peu d’histoire et de liens sociaux en partage. Elles manquent de services, de commerces et ont un défi de taille à relever : se fabriquer une nouvelle identité. Face à cela, Clara Delattre, jeune designer à l’École de design Nantes Atlantique a réfléchi : comment raviver la cohésion sociale et fabriquer une culture commune à ces nouveaux villages ?
Pour soutenir sa mutation écologique, Saintes a instauré en 2020 un conseil local de la transition écologique, composé de 22 citoyens. Après un premier plan d'action en 2022, l'expérience est plutôt positive. Pour qu’elle perdure dans de bonnes conditions, ses promoteurs souhaiteraient développer davantage l’accompagnement technique.
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